Accueil > Les idées > La jeune génération rejoint le SYNPER

La jeune génération rejoint le SYNPER

mercredi 20 octobre 2021, par Julie, synper

- Lily : A 24 ans tu as rejoins le SYNPER ! Alors que l’on indique que les syndicats ont du mal à attirer les jeunes. Que peux-tu nous dire de ton engagement Julie ?

Tout d’abord, à 24 ans, je n’ai pas débuté ma vie professionnelle. Elle a commencé avant. Dès 17 ans . J’ai exercé les métiers d’animatrice en écoles primaires et maternelles, commis en restaurant traditionnel, serveuse, auxiliaire de puériculture et ATSEM . Cela m’a appris les règles de la vie professionnelle et le profond besoin de connaitre les règlements et lois. J’ai donc été naturellement attiré par un engagement syndical me donnant ces informations.

Mais je n’avais pas envie du vieux syndicalisme, qui cultive les conflits, la vie dans l’entre-soi. Je voulais un syndicat ouvert, crédible, qui comprenne que j’avais besoin de mon travail et que je n’attendais pas de lui qu’il y mette le bazar.

Lily est un trésor...
Un trésor de sagesse, un trésor à trouver, des richesses à partager, mais surtout de l’amour !

- Lily : Et qu’est que tu as appris au SYNPER ? Si tu avais une seule chose à dire, ce serait quoi ?

Tout d’abord le SYNPER m’a apporté ce que j’attendais : une bonne compréhension du monde qui m’entour. Ce syndicat vous accueille, ce qui veut dire qu’il fait attention à qui vous êtes et ce que vous rechercher. Cela n’a l’air de rien, mais beaucoup d’autres syndicats se contente de vous utiliser, vous dire quoi penser et vous appeler à la grève, faire des pétitions... Au SYNPER c’est tout l’inverse. Vous venez comme vous êtes et le SYNPER regarde ce qu’il peut vous apporter et vous donner. C’est très agréable, c’est très libre ! En un mot, vous construisez votre soleil professionnel avec le SYNPER.

Construire votre soleil !

- Lily : Tu as pris différentes responsabilité au syndicat. Tu n’es pas restée très longtemps simple adhérente. Qu’est ce que t’a apporté cet engagement ?

Le SYNPER m’a appris une façon incroyable de faire du syndicalisme. Un syndicalisme qui n’est pas dans la lutte. Une lutte de moins en moins justifiée à l’heure ou l’employeur doit faire face à une crise économique et se bât pour maintenir son activité. Ce n’est pas le moment de lui faire du mal. Au contraire, il faut travailler ensemble à être plus performant pour maintenir les emplois, et trouver des solutions pour que cette performance permette aussi de trouver un bien-être pour les travailleurs. Pour faire cela il faut réfléchir et négocier.