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Le SYNPER c’est l’intérêt général pour vocation.

samedi 22 septembre 2018, par synper

Lily est Zen

Le SYNPER, c’est une éthique, une droiture, c’est surtout l’intérêt général pour vocation.

C’est une posture exigeante, que vous avez vue en action le long de la vie de notre syndicat. Il s’agit là de l’aspect inflexible de l’intérêt général : Nous ne sommes pas là pour l’entraver, en refusant les décisions qui relève des prérogatives d’un employeur, responsable de sa société. Mais nous ne sommes pas là non plus pour que l’employeur déroge à la loi et, lorsque cela nous semble nécessaire, nous n’hésitons pas à saisir les tribunaux pour qu’il s’y conforme. Les droits et obligations ne se négocient pas.

Mais il y a, à côté de cet aspect figé de l’intérêt général que nous défendons, un aspect mobile. Nous montrons à nos nouveaux représentants venus nous rejoindre que ce qui apparaît acquis, figé, est le résultat de choix qui n’étaient pas évidents. Cela aurait pu être autrement, et, peut être, cela devrait être autrement. L’intérêt général se discute et n’est dans aucun manuel. C’est pour cela que le SYNPER place au coeur de ses compétences, l’art de la négociation, et que tous nos représentants ont accès à une formation de haut niveau en ce domaine.

Le syndicalisme d’aujourd’hui doit pouvoir faire face aux situations complexes, qui ne sont ni noir ni blanche. L’intérêt coorporatiste que nous défendons, celui des personnels, doit pouvoir s’inscrire dans l’intérêt général sinon il est condamné à la confrontation stérile de deux points de vue antagonistes qui ne parviennent pas à se dépasser, celui du personnel et celui de l’employeur. C’est l’échec du syndicalisme de la lutte des classes.

Le SYNPER est le seul à pouvoir porter cette pensée, tout d’abord parce qu’il a des valeurs, pour ne pas se perdre, et ensuite parce qu’il est profondément libéral, c’est à dire qu’il conçoit que sa liberté s’arrête ou commence celle de l’autre. C’est un bon antidote au syndicalisme qui veut imposer son point de vue à tout prix et souvent au prix de l’avenir de l’outil de travail qu’il casse.